Synopsis
Cette mini-série chorale réalisée par Hervé Hadmar se déroule pendant la nuit de l’incendie de Notre-Dame. Elle raconte l’histoire d’hommes et de femmes qui ont leurs propres combats à mener. En parallèle de la lutte que mène la brigade des pompiers de Paris contre l’incendie de la cathédrale, nous suivons des personnages qui devront aller au bout d’eux-mêmes.
Ils se battront, aimeront, se croiseront, se détesteront, se souriront ou s’entraideront… finalement, ils auront une chance de reconstruire leur vie.
Erwan Andrieux,
Théo Cocagne
Awards
Les équipes de MPC Paris ont créé plus de 155 effets visuels pour la série Netflix “Notre-Dame, la part du feu”, y compris plusieurs scènes entièrement fabriqué en images de synthèse.
Interview du réalisateur Hervé Hadmar et Sébastien Drouin :
Y a-t-il des séquences d’effets visuels qui vous ont semblé particulièrement difficiles ?
“Une séquence, entièrement réalisée en 3D, où Alice entre dans la cathédrale pour la première fois, a été particulièrement stressante pour moi. C’est une séquence de 8 secondes du point de vue du jeune pompier regardant la cathédrale, où l’on voit les colonnes, la Pieta à l’arrière-plan, les statues, les chaises. C’était quitte ou double car je ne savais pas si cela fonctionnerait ou non. Comme il s’agit de la première séquence où l’on voit l’intérieur de la cathédrale, nous avons pensé que si cela ne fonctionnait pas, cela pourrait poser problème pour toute la série. Finalement, j’en suis très fier. MPC a fait un travail phénoménal dessus. (…) Les quelque 560 séquences d’effets visuels ont été réparties entre quatre studios et MPC a fait un travail extraordinaire sur les intérieurs de la cathédrale.”
Netflix a interviewé nos équipes parisiennes d’effets visuels pour expliquer leur travail :
Regardez la série sur Netflix en cliquant sur ce lien.
